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10 Bonnes pratiques pour gagner en assurance
Vous n'êtes pas sûr de vous ? Vous doutez ? Ne le montrez pas et donnez l'impression que vous êtes confiant. On a coutume de dire que seuls 10% de la communication passe par le verbal : tout le reste est une question d'attitude ! En adoptant l'attitude d'un homme sûr de lui, vous revoyez cette image aux autres, et c'est déjà un premier pas. Face à son supérieur hiérarchique, devant un auditoire, dans un pays étranger, face à une personne qui nous plaît : lors de nombreuses situations de la vie courante, il est difficile d'être confiant. Et pourtant, c'est bien cette attitude qui nous fait réussir dans notre vie professionnelle et personnelle. Pour gagner en assurance, voici dix conseils à suivre dès à présent.
Difficile de montrer un air assuré en étant voûté, les bras croisés sur la poitrine et le regard fuyant. Redressez-vous, décroisez les bras, soutenez les regards : vous voilà déjà plus assuré, non? Rien qu'en changeant votre posture, vous avez l'impression que vous êtes un autre homme !
Le stress vous ronge les sangs ? Ne le laissez pas gagner. Détendez-vous et souriez. Par cette action toute simple, vous reprenez la main sur votre anxiété, vous communiquez votre confiance à votre interlocuteur, vous lui assurez toute votre écoute et votre empathie. De bonnes bases pour démarrer une discussion professionnelle ou plus personnelle !
Feriez-vous confiance à un homme au regard fuyant ? Même si ses paroles sont justes, il donne l'impression de cacher des informations, de ne pas être sincère, de ne pas être fiable. Le menton haut et les yeux bien plantés dans ceux de votre interlocuteur, vous renverrez l'image d'une personne digne de confiance, sur laquelle on peut compter.
Un visage avenant, une attitude tournée vers les autres, un intérêt pour ses interlocuteurs : adopter un langage corporel ouvert, voilà la clé pour un être homme plus sûr de lui. Moins renfermé, plus lumineux, vous verrez que ce changement d'attitude portera ses fruits plus tôt que vous ne le pensez !
Ce projet, vous l'avez réussi à deux... Ce marathon, vous vous étiez bien entraîné pour... Ce dîner, vous l'avez préparé en réalisant des recettes piochées sur Internet... Et alors ? Quelle que soit votre réalisation, vous l'avez menée à bien. Alors arrêtez de vous dévaloriser aux yeux des autres. Prenez la mesure de ce que vous êtes et de vos actions, et n'hésitez pas à les valoriser si besoin. Quand vous demandez une augmentation salariale, par exemple...
Oui, il est possible de se fourvoyer et de ne pas réussir. Prendre des risques, c'est savoir qu'on peut se tromper. Mais quelle satisfaction quand ce n'est pas le cas ! Mener un projet à son terme avec succès, c'est tellement gratifiant sur le moment, et bien après ! À l'avenir, il vous suffira de penser à cet instant pour vous sentir pousser des ailes et vous donner l'énergie de déplacer des montagnes.
Ils sont souvent rares et on ne prend pas assez le temps de les apprécier. En effet, il est si facile de les balayer d'un revers de main avec un "Merci mais ce n'est pas grand-chose" ou un "Merci mais c'est tout à fait normal". Et pourtant ! Les compliments sont de petits bonbons qu'il faut savoir savourer : oui, vous méritez le compliment qu'on vient de vous faire ! Remerciez votre interlocuteur et prenez cinq minutes pour penser aux quelques mots qu'il vient de prononcer à votre égard.
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Facebook, le nouvel ami des entreprises
« Si l'écosystème va bien, Facebook va bien. » C'est ainsi que Laurent Solly, son directeur général, résume la nouvelle stratégie de Facebook France. «Nous sommes une plateforme et, quand les autres décollent, nous décollons aussi», rajoute Julien Lesaichessere qui, lui, est reponsable des produits plateforme de Facebook France. Et de citer Spotify ou Deezer, Apaln ou Blablacar qui ont explosé en utilisant Facebook. Blablacar vient ainsi de lancer son activité en Turquie en passant pour la première fois dans leur histoire, uniquement sur Facebook. Résultat : 50.000 utilisateurs en quinze jours. Idem avec Pretty Simple et ses jeux vidéos qui vivotait à Paris n'a connu son explosion mondiale qu'à partir du moment où les ingénieurs de Facebook se sont occupés de leur monétarisation et l'ont fait migrer sur mobile avec leurs outils de développement Parse. Facebook France vient donc de lancer à Paris une initiative probablement unique pour la firme américaine, au moins en Europe : un partenariat avec TheFamily, la société d'Oussama Amar, Nicolas Colin et Alice Zagury, qui couve depuis deux ans quelques uns des start-ups les plus prometteuses de Paris. 180 sont déjà passées chez TheFamily. Zuckerberg comme prof ? Toutes les start-up de TheFamily vont donc désormais bénéficier du package Facebook. Elles auront non seulement un (petit) financement possible mais surtout un accès privilégié au programme FBStart ( et toutes ses plateformes de développement avec entre autres Parse, la plateforme de développement mobile rachetée récemment par Facebook), les conseils des experts de Facebook (elles peuvent éventuellement un jour se retrouver avec une conférence privée de Mark Zuckerberg ..). Facebook décide donc de développer les start-ups repérées et choyées par TheFamily pour les faire migrer avec ses outils de développement sur ses plateformes. C'est un changement stratégique qui se confirme pour Facebook : si la société restait un simple réseau, elle était à plus ou moins long terme condamnée. En revanche si elle fait migrer les entreprises, les start-up comme celles du CAC 40, sur ses plateformes, elle peut gagner. Le schéma est simple pour Laurent Solly : «Facebook est une plateforme de développement qui aide les start-up pour que les entreprises qu'elles deviennent investissent sur Facebook. Mais nous ne devons pas nous limiter aux start-up, et il est aussi important pour nous d'aider les grandes entreprises dans leur transformation digitale que les start-ups à grandir. Quant nous expliquons à Henri de Castries, le Pdg d'Axa, que 86% de la relation des banques passe par un support digital, nous pouvons signer ensuite un partenariat mondial pour former ses équipes à cette révolution ou retravailler les stratégies de communication». © La Tribune Facebook veut être au coeur de toutes les entreprises La stratégie Facebook est d'être au cœur des entreprises. C'est un vrai changement, une transition vers un autre métier. «Je pense que l'idée de Facebook c'est devenir ce qu'a été l'électricité pour les entreprises il y a plus d'un siècle, sourit Oussama Amar le cofondateur de TheFamily. Ils veulent être au cœur de toutes les entreprises, et ils sont parfaitement agnostiques car ils sont aussi bien chez Deezer que Spotify si celait grandir leur modèle. C'est une entreprise qui possède une vision assez extraordinaire mais ils y vont pas à pas.» Dit autrement : là ou Google attaque frontalement les entreprises en place pour prendre les marchés, Facebook se glisse dans le système. Un exemple : il y a un peu plus d'un an, le Pdg de la SNCF, Guillaume Pépy, expliquait que son principal concurrent était Google, en particulier sur les réservations et l'agence de voyages. Il y a une semaine, le même Guillaume Pépy était chez Facebook France pour discuter de sa transformation digitale et de sa relation client. |
Europe vs Monde Arabe
C’est pour présenter le niveau du débat qui se déroule en Europe, et particulièrement en France, selon l’articule publié ci-dessous par le Nouvel Observateur (02-11-2014) ! Ceci en comparaison avec le niveau des sujets médiatiques traités dans le monde Arabe… !!! "Lorsqu'il ne se passe rien sur place, on ne parvient pas à convaincre de l'urgence du dossier, et lorsque c'est l'embrasement, on nous dit que ce n'est pas le moment. Et bien voilà, nous, nous avons décidé que c'est le moment". La sénatrice écologiste Esther Benbassa, qui vient, avec les sénateurs de son groupe EELV, de déposer une résolution demandant la reconnaissance par la France de la Palestine, est loin de découvrir le dossier israélo-palestinien. La spécialiste de l'histoire du judaïsme, qui a vécu un temps en Israël, se revendique militante du camp de la paix. "Israël doit exister", soulignait-elle jeudi matin au Sénat. "Mais dans ses frontières, pas dans des frontières messianiques", expliquait-elle. Les sénateurs souhaitent, disent-ils, que "le gouvernement français reconnaisse sans délai l'Etat palestinien souverain et démocratique sur la base des frontières de 1967 avec Jérusalem comme capitale des deux Etats". Une proposition de résolution qui intervient quelques jours après le vote par la Grande-Bretagne d'un texte allant dans le même sens et alors même que la Suède a, jeudi, officiellement reconnu la Palestine comme un Etat à part entière. Il s'agit du 135è pays à reconnaître officiellement la Palestine comme un Etat. "Une résolution n'est pas une décision" a tenu à préciser Esther Benbassa. "Nous attendons des pourparlers négociés entre les deux parties, nous ne souhaitons en aucun cas nous substituer à ces deux Etats qui doivent enfin se mettre sérieusement autour d'une table", a-t-elle affirmé jeudi matin, soulignant l'existence de certains obstacles à l'aboutissement rapide d'un accord : "Tant que le Hamas ne reconnaîtra pas Israël, il ne pourra pas y avoir de réel accord de paix. Mais en tant qu'historienne, je sais voir les choses dans la durée", a souligné la sénatrice. "L'OLP n'est-elle pas passée d'un mouvement terroriste à des costumes cravates autour d'une table ?"… |